
Waka Waka vs La La La : quel hymne a le plus enflammé les stades ?
Quand le ballon roule sur la pelouse, les cœurs battent plus fort. Et quand une voix comme celle de Shakira s’élève dans les airs, c’est tout un stade qui vibre à l’unisson. Deux hymnes, deux Coupes du Monde, deux moments suspendus dans le temps : « Waka Waka (This Time for Africa) » et « La La La (Brazil 2014) ». Mais alors, lequel a vraiment mis le feu aux tribunes ? Plongeons dans cette bataille rythmée.

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Les deux morceaux ont été conçus pour célébrer le plus grand événement sportif de la planète, et chacun a apporté sa propre couleur musicale. « Waka Waka », avec ses percussions africaines et son refrain entraînant, a su capturer l’âme d’un continent tout entier. « La La La », plus électronique et sensuelle, a misé sur une ambiance planante et festive, aux accents brésiliens.
Mais l’impact d’un hymne ne se mesure pas qu’en décibels. Il faut aussi regarder du côté des émotions, de la mémoire collective, et des instants magiques qu’il a su graver. Voici un petit comparatif pour y voir plus clair :
Critère | « Waka Waka » | « La La La » |
---|---|---|
Date de sortie | 2010 | 2014 |
Coupe du Monde associée | Afrique du Sud | Brésil |
Style musical | Afro-pop, influences camerounaises | Pop-électro, ambiance latine |
Participation du public | Chorégraphie mondiale | Clips émotionnels |
Impact culturel | Hymne universel de la joie collective | Ambiance introspective et touchante |
Si l’on se fie à l’énergie brute, « Waka Waka » semble avoir pris une longueur d’avance. Elle a été chantée dans les rues, reprise dans les écoles, dansée dans les stades. Elle est devenue un symbole de fête et d’unité, bien au-delà du football.
« La La La », de son côté, a su séduire par sa douceur et sa puissance émotionnelle. Moins explosive mais plus intime, elle a touché un autre registre : celui du cœur, de l’humain, du lien entre sport et résilience.
Alors, lequel a le plus enflammé les stades ? Tout dépend de ce que l’on cherche :
- Pour vibrer à l’unisson avec des milliers de supporters : « Waka Waka » est une évidence.
- Pour ressentir la beauté du sport dans sa dimension humaine : « La La La » frappe juste.
Dans les deux cas, Shakira a réussi un tour de force rare : transformer une chanson en hymne, et un hymne en souvenir impérissable. Une chose est sûre : ces refrains résonnent encore, bien après le coup de sifflet final.
Deux refrains, une même passion : la musique et le football
Deux refrains, deux Coupes du Monde, une même voix. D’un côté, « Waka Waka (This Time for Africa) », l’hymne de 2010. De l’autre, « La La La (Brazil 2014) ». Tous deux portés par l’énergie solaire de Shakira, ces titres ont résonné dans les stades, sur les écrans et dans les cœurs. Mais lequel a réellement mis le feu aux tribunes ? Le match est lancé.
Une rythmique fédératrice pour « Waka Waka »
Sorti en pleine effervescence du Mondial sud-africain, « Waka Waka » a immédiatement capté l’âme du tournoi. Sa base rythmique s’inspire d’un chant militaire camerounais, mêlant percussions tribales et guitare acoustique, avec un refrain entêtant. Résultat : un morceau aux sonorités festives et universelles, qui a transcendé les frontières linguistiques et culturelles.
Dans les stades, sur les places publiques ou dans les salons, les supporters du monde entier se sont approprié cette chanson. Elle est devenue un hymne collectif, presque un cri de ralliement. Une véritable bande-son d’un été inoubliable.
« La La La » : une ambiance plus introspective
Quatre ans plus tard, Shakira revient avec « La La La », un morceau plus électro, plus moderne, aux basses profondes et aux sonorités brésiliennes stylisées. Si le titre séduit par sa production léchée et son refrain accrocheur, il adopte une approche plus émotionnelle, presque introspective par moments.
Moins axé sur l’énergie collective, « La La La » mise sur une esthétique visuelle forte et une ambiance plus feutrée. Il a trouvé sa place dans les playlists et les cérémonies, mais a moins souvent été repris en chœur dans les gradins.
Comparatif des deux hymnes
Critère | Waka Waka (2010) | La La La (2014) |
---|---|---|
Énergie collective | Très forte | Modérée |
Refrain mémorable | Iconique | Accrocheur |
Présence dans les stades | Omniprésente | Occasionnelle |
Impact culturel | Marquant | Significatif |
Ambiance musicale | Festive et solaire | Électro et émotionnelle |
Le verdict du public
Si l’on se fie aux réactions spontanées, aux vidéos virales et aux reprises dans les stades, « Waka Waka » semble avoir laissé une empreinte plus profonde. Il incarne l’esprit d’un tournoi, la joie partagée, la danse improvisée dans les rues. Son refrain est devenu un slogan, presque un souvenir collectif gravé dans la mémoire des fans de football.
« La La La » n’a pas dit son dernier mot pour autant. Il a su séduire par sa puissance émotionnelle et sa modernité. Il touche une autre corde, plus personnelle, plus intérieure.
Finalement, tout dépend de ce que l’on cherche : la transe collective ou l’émotion individuelle. Et si l’on tend bien l’oreille, ces deux hymnes continuent de vibrer dans les gradins… chacun à leur manière.

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Ce que l’on retiendra, des années plus tard
Quand on parle de musique et de football, difficile de ne pas penser à Shakira. La chanteuse colombienne a signé deux hymnes planétaires qui ont fait vibrer les stades du monde entier. Mais entre « Waka Waka (This Time for Africa) » et « La La La (Brazil 2014) », lequel a vraiment marqué la mémoire collective des supporters ?
Pour répondre à cette question, il faut plonger dans l’ambiance des compétitions, écouter les échos des gradins et sentir le rythme dans les rues. Ces deux titres ont accompagné des moments forts du football mondial, mais leur impact n’a pas été le même.
Un refrain fédérateur contre une vibe envoûtante
« Waka Waka » a cette énergie solaire, presque tribale, qui rassemble dès les premières secondes. Le morceau s’inspire d’un chant camerounais, et son message est limpide : c’est l’heure de briller. Porté par des percussions dynamiques et un chœur entraînant, il a su créer un véritable sentiment d’unité entre les peuples.
« La La La », de son côté, mise sur une ambiance plus aérienne, presque hypnotique. Le rythme est plus lent, plus sensuel, mais toujours dansant. Moins direct, mais plus profond pour certains, ce morceau touche par son émotion et sa mélodie planante.
Une présence dans les stades et au-delà
Les deux chansons ont fait danser les foules, mais pas de la même manière. Voici un tableau comparatif des éléments marquants :
Critère | « Waka Waka » | « La La La » |
---|---|---|
Année de sortie | 2010 | 2014 |
Événement associé | Coupe du Monde en Afrique | Coupe du Monde au Brésil |
Ambiance musicale | Festive, rythmée, fédératrice | Émotive, sensuelle, envoûtante |
Impact culturel | Hymne universel repris dans de nombreux pays | Succès plus ciblé, mais apprécié pour sa douceur |
Chanté dans les stades | Très fréquemment | Moins souvent |
Les moments forts qui ont marqué les esprits
- 2010 : l’Afrique accueille pour la première fois la Coupe du Monde, et « Waka Waka » devient le symbole de cette édition historique.
- 2014 : le Brésil vibre au rythme de « La La La », mais c’est un autre hymne qui domine les playlists des supporters sur place.
- Sur les réseaux : « Waka Waka » cumule des centaines de millions de vues, avec des chorégraphies reprises dans le monde entier.
- Dans les écoles et les clubs : « Waka Waka » est encore aujourd’hui utilisé pour des animations sportives ou des spectacles de fin d’année.
Au final, les deux morceaux ont laissé leur empreinte. Mais si l’on parle de feu dans les stades, de chaleur collective et de mémorisation immédiate, « Waka Waka » semble avoir pris une longueur d’avance. Elle a su transformer un simple morceau en véritable hymne populaire, au sens le plus noble du terme.